Diffusé le 17 avril à 20:00
SÉANCE 11
Self, 1949, 16’00
Dunkerque (59). Fiction. Cinéaste : Pierre VINCKE
Arsène, employé des Ateliers et Chantiers de France de Dunkerque, mène une petite vie tranquille, un peu agacé par le contremaître mais bienheureux auprès de sa fiancée quand il rentre du travail. Un jour, il s’amuse avec son collègue à déjouer le contremaître et lui prépare une farce. Malheureusement cela se retourne contre lui et il est remercié. La vie d’Arsène prend alors une mauvaise tournure. Il perd tout espoir et confiance en soi. Il est au bord du suicide… Comment va-t’il s’en sortir ?
Le Flandre et l’Olympic Honour aux ACF, 1952 et 1953, 8 mm, 3’30
Dunkerque (59). Actualité. Cinéaste : Pierre VINCKE
Visite du Flandre aux Ateliers et Chantiers de France de Dunkerque. « Depuis son lancement, le 31 octobre 1951, il est en cours d’armement pour les finitions à bord, les essais en mer… Le Flandre quitte Dunkerque le 11 juillet 1952 et est livré à la Cie Générale Transatlantique le 17 juillet 1952. »
« Le 21 novembre 1953, le plus grand pétrolier construit à ce jour sur les cales dunkerquoises, l’Olympic Honour, s’apprête à être lancé sous les yeux de son célèbre armateur grec, Aristote Onassis. »
Frédéric Cornette
Lancement et départ du pétrolier De Baïf, 1954, 5’00
Dunkerque (59). Actualité. Cinéaste : Jean LEFOL
« Le samedi 15 mai 1954, c’est au tour du De Baïf, un pétrolier moderne de 30000 tonnes, d’être lancé. Ils sont nombreux, Dunkerquois ou invités à s’être déplacés pour assister à ce lancement. La bénédiction du navire est donnée par le chanoine Devémy, doyen de Saint-Eloi. L’harmonie municipale de Dunkerque, sous la direction de René Cordier, joue des marches militaires tandis que 140 ouvriers s’activent pour achever les préparatifs du lancement, démarrés depuis 5 heures du matin. A 11h30, la Marseillaise retentit suivie de l’hymne à Jean Bart. La bouteille de champagne lancée par la marraine, Mme J.J Nahmias, se brise contre la coque du navire. Au signal de l’ingénieur Thelinge, les clés de retenues des deux vérins sautent. Le pétrolier prend contact avec son élément sous la surveillance des remorqueurs qui l’attendent. » Frédéric Cornette
Merci pour ces images du passé que j’ai connues pour certaines d’entre-elles. Elles me ramènent surtout à mon père qui a fait presque exclusivement sa carrière au port (de ses 14 à ses 62 ans) ainsi que mon grand-père que je n’ai malheureusement pas connu. C’est formidable de pouvoir contempler ce qu’ils voyaient. Notre port est la fierté des Dunkerquois, anciens et actuels !
très bon documentaire, instructif sur cette époque. Le réseau fluvial pour l’arrière pays était encore exploité et au lieu de 25t les péniches en transportaient 300.